YWENGUILLARD   
| posté le 15/11/2013 à 16H12 |
Bien sûr je demande pas à revenir aux élevages des années 1900 où l'on produisait en plein air pour subvenir aux besoins de sa région voir de son village
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Je crois qu'à cette époque-ci ça se limitait même à la famille.
C'est sur, certaines normes sont parfois débiles et pondues par des personnes qui n'ont aucune réalité de terrain.
D'un autre côté, quand on voit l'évolution qu'il y a eu, il faut bien qu'il y ait des restrictions qui suivent. Beaucoup d'agriculteurs, motivés par l'appât du gain, et aussi la désinformation qui régnait à une certaine époque, en sont arrivés à faire des choses complètement insensées et à l'encontre même de leur pérennité. Que ce soit des éleveurs ou des céréaliers.
On a l'habitude de tapper sur le consommateur en ce moment. C'est vrai qu'il en est en parti responsable ; mais de mon côté, le producteur l'ait aussi puisqu'il a accepté ; il s'est plié aux exigences et est rentré dans le jeu. Maintenant producteurs et consommateurs sont en quelques sortes pris au piège. Et pour en ressortir, c'est très dur ; et ça ne se fera que très doucement !
Regardez, combien d'animaux est-ce qu'on voit encore dans des pâtures ? Même chez le plus petit agriculteur d'un village, toutes les bêtes sont alignés dans un hangar et suivent une "monodiète" d'ensilage...
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Malgré son épaisseur infime, la "terre" est d'une telle importance vitale qu'elle a donné son nom à notre planète, la "TERRE" - Dominique Soltner